Roberta


Roberta espiègle et pliant 1970

Qunte poulido caro, qué ?  Dans le genre craquant qui fait fondre Roberta fait une entrée qui ressemble à un dessert ; il y a le look, le charme, mais aussi les arguments : chambres à air doublées pour pas crever, bel éclairage par beau phare chromé surélevé, béquille assortie, carter de chaine intégral pour pas se salir, et cerise sur le ponpon un porte bagage à l'avant zaussi, mais oui, et ça croyez moi ça change la vie, quand t'as un violon (ou une clarinette, pas vrai Catherine ?) sur le dos et un gros sac à la main et que tu trouves des merveilles aux puces. Baste, assez parler, roulez maintenant !







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